A la mémoire du Colonel Denard
et des hommes qui ont servi sous ses ordres
A la mémoire du Colonel Denard
et des hommes qui ont servi sous ses ordres
A la mémoire du Colonel Denard
et des hommes qui ont servi sous ses ordres
le monde est notre patrie
Pendant des décennies, notre corporation, à essayé de se montrer discrète, à essayé d’adopter un profil bas, à préféré les chemins de l’ombre. C’était le prix à payer pour pouvoir écrire de nouvelles pages de l’histoire du Groupe des Experts Volontaires.
Aujourd’hui, au travers de notre association Orbs Patria Nostra, nous nous exposons au grand jour, et nous offrons a tout un chacun la possibilité de rejoindre et d’adhérer à notre association.
Nous qui l’avons servi, nous qui l’avons connu, sommes maintenant les dépositaires de ce devoir de mémoire auquel Le Colonel était si attaché. Si nous nous refermions sur nous même, nous disparaîtrions définitivement, et avec nous la mémoire de tous ceux qui en laissant leur vie sur la piste, ont permis que l’aventure du Groupe des Experts Volontaires se poursuive, ont permis que de nouvelles pages soient écrites, ont permis que nous vivions nos rêves.
Qui mieux que le Colonel lui-même pouvait retracer sa si longue carrière ? A travers la plume de Georges FLEURY, c’est ce qu’il a fait dans le second livre qui lui est consacré, Corsaire de la République. C’est pourquoi nous avons décidé de largement nous appuyer sur ses propres récits pour évoquer sa mémoire et celle de nos camarades disparus. Les témoignages de ceux qui ont écrit ces pages d’histoire, les documents et photos que nous livrent peu à peu les 70 cantines d’archives personnelles du Colonel, viendront au fil du temps, enrichir le site de notre association.
Le livre de l’histoire du Groupe des Experts Volontaires s’est refermé, plus aucun chapitre, plus aucune page ne sera écrite, si ce n’est, peut être, celle de notre association.
Plus aucun Expert Volontaire, plus aucun Soldat de Fortune, plus aucun Soldat Libre, ne servira sous les ordres du Colonel Denard ! Nous sommes les derniers à l’avoir fait.
Quand un type comme ça disparaît, y’a pas de place à prendre, c’est la fin d’une époque… ( M. Audiard)